ça vient d'arriver
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RésuméAu XXI�me si�cle, ou r�gnent la violence et le sexe, Alex, jeune chef de bande, exerce avec sadisme une terreur aveugle. Apr�s son emprisonnement, des psychanalystes l'emploient comme cobaye dans des exp�riences destin�es � juguler la criminalit�... Produits similaires
Critiques et avisSoyez rémunéré pour chaque avis pertinent déposé !Critique de jerry2505Dire qu'un film de Stanley Kubrik est excellent, je ne pouvais pas faire plus évident que cela. Orange Mécanique est un film qui longtemps après soulève toujours la polémique. Il n'a pas pris une ride avec son univers particulier et une performance d'acteur inoubliable par le trop peu reconnu, Malcom Dowell. Orange Mécanique traite de la violence : beaucoup de personnes s'étonneront que ce film est pu autant choquer en 1971 à sa sortie. Et pourtant tout le dogme de la violence s'y trouve. Si vous le voyez sur troczone, cliquez sans hésiter sur "je veux".. Critique de jenlooTrente ans après, la violence de "Orange mécanique" reste entière, et les premières scènes mettent le spectateur mal à l'aise. Le langage pittoresque imaginé par Burgess (l'auteur du roman original, rappelons-le) apporte un plus indéniable à l'ambiance. Malcolm McDowell est franchement excellent (ah, ce gros plan sur son visage grimaçant avec sa décoration autour d'un oeil !). Le scénario est sans failles, tout comme la réalisation du maître. Longtemps interdit en vidéo (par Kubrick lui-même), le film est très fort et doit impérativement être vu par tout cinéphile qui se respecte. Critique de alexpopDans beaucoup de ses films Kubrick a le dont de savoir marier la musique avec les images. On pense notamment à 2001 l'odyssée de l'espace, et full métal jacket. Là on dirait que Rossini et Beethoven ont composés spécialement la musique de certaines scènes d'Orange Mécanique (Alex et ses droogies se baladant le long du canal, Alex dans sa chambre avec la statue de Christ...). Critique de manson31140"Orange mécanique" sort en 1971, trois ans après "2001 odyssée de l'espace". Cette fois-ci, Stanley Kubrick laisse le vide intersidéral loin derrière lui, pour s'intéresser à quelque chose de plus proche de nous, une société policée mais décadente imaginée par Anthony Burgess dans son roman, car c'est bien d'une adaptation qu'il s'agit. |