ça vient d'arriver
Aladdin François 1er Parano chez les dinos Le Horla et Autres Nouve… Pauca Meae Georges Dandin Roméo et Juliette Othello L'Ecole des femmes Le Voyage de Monsieur Pe… Le baiser de l'ange
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RésuméLa Hague... Ici on dit que le vent est parfois tellement fort qu'il arrache les ailes des papillons. Sur ce bout du monde en pointe du Cotentin vit une poignée d'hommes. C'est sur cette terre âpre que la narratrice est venue se réfugier depuis l'automne. Employée par le Centre ornithologique, elle arpente les landes, observe les falaises et leurs oiseaux migrateurs. La première fois qu'elle voit Lambert, c'est un jour de grande tempête. Sur la plage dévastée, la vieille Nan, que tout le monde craint et dit à moitié folle, croit reconnaître en lui le visage d'un certain Michel. D'autres, au village, ont pour lui des regards étranges. Comme Lili, au comptoir de son bar, ou son père, l'ancien gardien de phare. Une photo disparaît, de vieux jouets réapparaissent. L'histoire de Lambert intrigue la narratrice et l'homme l'attire. En veut-il à la mer ou bien aux hommes ? Dans les lamentations obsédantes du vent, chacun semble avoir quelque chose à taire. Critiques et avisSoyez rémunéré pour chaque avis pertinent déposé !Critique de marlene76Suite au décès de son compagnon, une ornithologue s’installe à la Hague, pour aller au bout de son impossible deuil. On l’appelle « la Griffue », du nom de la maison qu’elle occupe, griffée par le vent, la mer et les arbres morts, tout au bout du monde. À côtoyer la poignée d’hommes et de femmes qui vivent sur cette terre âpre, elle se rend vite compte qu’elle n’est pas la seule à se débattre dans son désespoir… Critique de poussaintUn phare dans la nuit. Un naufrage. Des histoires d'amour, de corps qui se croisent, se perdent, se cherchent. Des oiseaux sur les falaises, des chemins à arpenter, des chemins pour mieux se perdre. La nature, grandiose et terrible, sur laquelle on vient buter mais aussi renaître. La Manche, La Hague, les plages. Ici tout est perdu mais les sentiments, les sensations s'y exacerbent. On aime plus, on déteste fort, les mots sont rudes et s'échangent. Des fous, des vieux qui vivent encore accrochés à leur peau. |